// De retour

Winry arriva devant chez elle. Elle ne s'arêta pas et continua jusqu'a l'emplacement de la maison d'Edward. Elle y déposa des fleurs qu'elle avait cueilies en chemin. Elle s'assit et attentdit, le regard dans le vague.

Winry se leva d'un bond.

" Oui.. "

Winry laissa lomber sa clef qu'elle avait à la main. Elle tomba sur le sol éffondrée par le chagrin en criant:

" NAN ! NAN ! 'EST PAS POSSIBLE ! PAS TOI ! "

Winry murmura:

" D'abord eux...puis toi.. Je n'ai plus personne... "

Elle hurla

" POURQUOI ???!! "

Winry se redressa, le visage pâle, les yeux muoillés, les cheveux en bataille. Elle prit les fleurs qu'elle avait posé à l'emplacement de la maison des frères Elric et elle se leva. Elle aperçut alors Akito, elle s'en approcha, tremblante.

Elle le regarda et parvint simplement à dire:

" Edward..."

Winry laissa échapper un mot:

" Mort.. "

De nouvelles larmes coulèrent le long du visage de Winry.

Winry sanglotta.

" C'est de ma faute.."

Winry commença, hoquettant parfois:

" C'était à une ville, il y a deux ou trois jours, je ne sais plus..La ville s'appellait Lior. J'y suis allée pour acheter des pièces mécaniques et là, qui je vois ? Ed avec une autre fille. J'en ai été toute chamboulée. Pourtant toutes les fois ou il était avec d'autre fille ça ne me dérangeait pas mais là...Je ne sais pas ce qui m'a pris...J'ai hurlé et me suis enfuie, Ed m'a poursuivie, on a parler un moment et je suis rentré ici, et un officiet est venu me dire que..qu'il était.."

Elle ne put achever sa phrase.

" Je ne sais pas..Il m'a dit qu'il ne l'avait vu qu'une fois.. "

Elle regarda Akito.

" C'esty un officier de l'armée qui est venu me le dire ! C'était comme avec mes parents ! "

Winry fondit de nouveau en larmes.

" Pourquoi aurait tu dû te taire ? "

Winry lui lança un regard interrogateur.

" Ce n'est pas grave.. "

* Au point ou j'en suis..*

Winry se détacha de Akito. Elle regarda les reste d'une maison.

" Tu vois, ce qui reste de cette maison ? Eh bien c'était celle d'Edward et de son frère. "

Elle se retourna et montra une maison, au loin, sur une colline.

" Et celle là, là-bas, c'est la mienne. "